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Sensibilité, rêves, magie
1 décembre 2007

Un enfant influancé par la tristesse du monde

Les yeux éblouis devant la beauté
Irréelle du futur et des science avancées
L’enfant reste là, sans bruit, sans bouger.
Dans ses pensées le gouffre devient grandissant
Pendant que le monde lui apprend
À fermer les yeux. À rester silencieux.

Que reste-t-il des forêts
Ont elles vraiment existé ?
Ou bien le monde se serait amusé
À détruire nos idées ?

Et si, dans notre lieu de vie
Les idées innocentes de nos enfants étaient la clef
La sortie
Des idéaux, de nos envies.
Ne serait-ce pas cela qui dans nos courses folles
Nous bascule dans l’ombre
Et nous détruit ?

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Commentaires
B
Les mots. Le parfum des mots. Est sublime. Les tiens ont l'odeur des ordures. De la déchetterie. Fais passer l'incinérateur qu'il fasse tout ça de cendres. Pour une fois tes textes auront du feu. Là, les vers riment malchanceux, sans musique, sans sonorité, sans ce qui berce l'âme de trop de langueur...
Sensibilité, rêves, magie
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